Lucas Vasquez a fait ses adieux à la Maison Blanche du Real Madrid. Il a eu le droit aux hommages d’un club qu’il a connu pendant 16 ans. C’est long au Real et c’est rare d’y faire autant carrière. Sa simplicité et son humilité ont fait du latéral droit espagnol un joueur à part et apprécié de tout le vestiaire comme de ces entraîneurs.
Il a eu le droit à l’hommage de Carlo Ancelotti sur instagram. Le joueur a aussi goûter aux hommages appuyés d’un certain Sergio Ramos, capitaine emblématique de la Maison Blanche qui n’avait pas eu un tel hommage de la part du club. Il est vrai que Ramos n’avait pas été formé dans la capitale espagnole. Au contraire de Vásquez qui a fait ses classes à la formation madrilène avant de partir à l’Espagnol Barcelone.
En fait, le bonhomme a surtout été un leader charismatique du vestiaire de casa blanca. toujours très humble et ami de tous les joueurs, il faisait la liaison, le point d’équilibre du vestiaire. Il n’est pas pour rien capitaine de Madrid sous les ordres de Zidane ou encore lors du retour de Carlo Ancelotti. Vásquez a tout connu avec son club de Madrid. il est aussi unique dans sa personnalité. Ne rechignant jamais, ni en créant la polémique.
Lucas Vásquez, le représentant de l’humilité du Real Madrid
Pas une polémique, pas un énervement, mais l’envied e toujours bien faire dans le respect le plus grand. À voir Camavinga, Bellingham et Mbappé, tout juste arrivé il y a un an, assister à son hommage, c’est dire de la personnalité de l’Espagnol. Il est aussi important que nécessaire de le garder comme un équilibre entre tous les égos du vestiaire. Car le charme du latéral droit espagnol, c’est avant tout de jouer ce qu’il peut jouer avec le Real Madrid. N’allez jamais lui demander s’il est frustré, Vásquez a tellement de respect pour la hiérarchie, qu’il n’a jamais été une source d’angoisse pour les entraîneurs sur le banc du Real.
Que ce soit avec Zidane, avec Ancelotyi ou même avec Xabi Alonso, il a été un élément clé du dispositif du Real Madrid. Si Lunin et Mbappé sont allés le voir à son hommage, c’est un symbole du vieux briscard qu’il est de l’aura qu’il possède dans le vestiaire. Il faut aussi se souvenir de Zidane qui avait laissé un message lors du dernier match de l’Espagnol au Bernabéu. Il est le représentant de l’humilité madrilène. Et désormais libre, il pourrait même à 32 ans, être un excellent joueur de ballon et un leader authentique dans un vestiaire.
